Toujours plus d’emploi local et de légumes dans votre assiette !

C’est le Printemps !

Tout change, le gouvernement comme la gamme de légumes, même si la tambouille reste souvent la même. Sur l’étal du magasin, vous trouverez au fil des semaines : des épinards, des navets nouveaux, des radis, de la roquette, des salades diverses. Une nouvelle série de chou-fleur arrive aussi très bientôt.

Au fil des semaines….

Nos cultures se mettent en place pour les productions d’été et d’automne : les tomates,  les courgettes, les poivrons, les aubergines et les oignons. Les courges seront semées dans quelques semaines ainsi que les pommes de terre (variété Allians et Melody).

Le GAEC Feuille de Choux, afin de pallier à l’augmentation de son volume d’activité, à recruter Michel Corneloup pour 14h par semaine. Michel travaille également avec Paul Guéguen sur l’atelier de transformation porc. Une autre personne nous rejoindra en Juillet et Août pour le pic d’activité saisonnier. Enfin une stagiaire ingénieure en agronomie viendra travailler la problématique de la fertilisation durant le mois de Juillet.

Le GAEC est administrateur actif de l’association « Manger Bio en Vendée », collectif de producteurs pour l’approvisionnement de la restauration collective vendéenne. « Manger Bio en Vendée » va recruter en Août un coordinateur commercial. Vous retrouverez l’annonce du poste au magasin de la Gourinière d’ici peu.

Petites bêtes au rendez-vous du Printemps.

Cette année, la douceur de l’Hiver et la remontée précoce des températures a favorisé l’arrivée rapide des insectes auxiliaires des cultures, ces petites bêtes qui nous réalisent l’essentiel du travail de régulation des prédateurs en agriculture biologique. On a pu apercevoir des coccinelles de différentes espèces (prédatrices de pucerons notamment), des carabes (limaces) et des Aphidius, micro guêpes prédatrice des pucerons. Et c’est avec plaisir que nous accueillons désormais à l’année des gros crapauds dans nos serres (ambiance équatoriale garantie!).

En plus des conditions météo, qui favorisent ou non l’activité des auxiliaires, la préservation du bocage et la limitation au maximum des pesticides (notamment les insecticides) participent fortement au maintien des populations d’auxiliaires.